Prendre et reprendre des forces.
Je suis sur le neutre et mon tracteur l’est presque, lui aussi.
Les semaines passent comme des tourbillons.
Je suis sur le neutre et mon tracteur l’est presque, lui aussi.
Les semaines passent comme des tourbillons.
Elles laissent les muscles ankylosés.
La maison sans dessus dessous.
La tête et le frigo vide.
Le dernière s'est en plus terminée par un festin d'oiseaux sacrifiés et une soirée poker avec l'équipe de travail.
Besoin de souligner les fondations qui ont été coulées pour la cuisine 1 2 3 Soleil!
Faire du béton par temps chaud appelle au gatorade
et quand c'est fini, à la fête!
Ça a fini de m'achever.
Quelques heures pour retomber sur nos pieds avant la(les) semaine(s) de sprint qui vient(nnent): planter planter planter.
Tout est prêt pour qu'on finisse de verdir de façon organisée le champ encore bien brun à bien des endroits
Les mauvaises herbes s'occupent du verdissage intégral.
La clutch du tracteur a tenu le coup aujourd'hui pour le buttage des dernières planches de culture. Le minimum essentiel.
On se croise les doigts pour qu'elle tienne le coup encore quelques semaines. Après, nous analyserons la situation. Elle glisse, la clutch. Il faut la changer et cette réparation exige qu'on sépare le tracteur en deux. Ni plus ni moins. Un ouvrage très chérant et qui nous prive de notre grosse bête pendant un bon deux semaines. Ce n'est vraiment pas le moment...
Le dernière s'est en plus terminée par un festin d'oiseaux sacrifiés et une soirée poker avec l'équipe de travail.
Besoin de souligner les fondations qui ont été coulées pour la cuisine 1 2 3 Soleil!
Faire du béton par temps chaud appelle au gatorade
et quand c'est fini, à la fête!
Ça a fini de m'achever.
Quelques heures pour retomber sur nos pieds avant la(les) semaine(s) de sprint qui vient(nnent): planter planter planter.
Tout est prêt pour qu'on finisse de verdir de façon organisée le champ encore bien brun à bien des endroits
Les mauvaises herbes s'occupent du verdissage intégral.
La clutch du tracteur a tenu le coup aujourd'hui pour le buttage des dernières planches de culture. Le minimum essentiel.
On se croise les doigts pour qu'elle tienne le coup encore quelques semaines. Après, nous analyserons la situation. Elle glisse, la clutch. Il faut la changer et cette réparation exige qu'on sépare le tracteur en deux. Ni plus ni moins. Un ouvrage très chérant et qui nous prive de notre grosse bête pendant un bon deux semaines. Ce n'est vraiment pas le moment...
2 commentaires:
Bonjour Salette et bonjour S,
C'est une grande première pour moi: première fois que j'écris un message sur un blog: j'espère que tout marchera bien!
Tout d'abord me présenter: je suis FatherSnake et si tu ne me connais pas, Salette, ton conjoint te diras qui je suis!..
Je voulais vous souhaiter bon courage et vous dire que je vous soutiens et suis de tout coeur avec vous même si je suis de l'autre coté de l'Atlantique.
Courage!
J'ai plaisir à lire ce blog et j'espère qu'il perdurera.
C'est une sorte de cadeau que tu nous fais et comme dirait quelqu'un que tu connais bien: le bonheur n'a pas de prix!
Enfin si: celui de la sueur, du doute et de la fatigue!
Allez courage, vous avancez bien et vous rendez heureux plein de gens!
Alors, récupérez un moment avant de vous lancer dans le gros du travail.
Bisous à p'tit Loup.
Amicalement.
Alain alias FatherSnake
P.S: je n'ai pas compris toute les subtilités de l'identité du "blogger" donc je "post" en anonyme pour l'instant! Désolé
Bon je refais un essai de post!
En passant, le clutch en France s'appelle "l'embrayage" et le neutre (traduction de l'américain neutral) nous appelons cela, dans le cas d'un véhicule avec une boite de vitesse, le "point mort" (en effet au point mort le moteur ne peut pas entrainer le véhicule).
Bon j'espère que cette fois le message va bien partir!
Cher Fathersnake,
votre commentaire s'est rendu jusqu'en campagne profonde, sain et sauf!
Merci pour vos mots encourageants. Vous le dites si bien: le bonheur n'a pas de prix, hormis la sueur , le doute et la fatigue!
Vos mots sont réconfort et une poussée dans le dos nous guidant vers nos motivations profondes. Facile de les oublier dans une si société mercantile...
Merci milles fois!
Salette
p.s. merci pour les mots justes...
je suis loin d'être calée en mécanique, et utilise des mots de fermiers québécois, question d'être un peu crédible comme fermière...
Je ne suis plus au point mort... J'ai passé à DRIVE 2!!! et l'embrayage, dieu merci, tient le coup!
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