Accroupis en plein milieu du champ,quand on repique des oignons, il est bon de regarder, tête au ras du sol, le travail accompli. et non l'étendue qu'il reste à garnir. Un semis d'oignon est tellement tellement minuscule dans un champ que ça provoque inmanquablement des questions existentielles.
Mais 4 rangs de 100m d'oignons espacées aux 10 cm, bien parallèles... quand arrivés au bout de la planche, on se colle l'oreille sur la terre encore froide, c'est de la dentelle!
Après 9 plateaux de 700:
- 7, 8 , 9! 9! on a presque fait le tiers des oignons!
Un nouveau helper fraîchement débarqué m'a regardé d'un air ahuri:
-le tiers??????!!!!
Après 9 plateaux de 700:
- 7, 8 , 9! 9! on a presque fait le tiers des oignons!
Un nouveau helper fraîchement débarqué m'a regardé d'un air ahuri:
-le tiers??????!!!!
3 commentaires:
Un petit mot en passant ... j'aime bien ton blogue :)
Il sent bon la terre et la campagne et il permet de s'évader un peu de notre smog urbain.
Je reviendrai !
Merci!
je viens d'aller voir le tiens et... réciproquement! j'y irai pour m'évader...
ça ressemble pas mal à ce qui me manque d'urbain au fond de ma campagne, les restos, la culture et même un peu... des fois... et des fois beaucoup la vie d'étudiante graduée...
Salut Geneviève et Salette,
C'est l'fun de vous voir ici en train de jaser. Deux érudites, l'une aux champs, l'autre à la ville... comme la fable :)
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